jeudi 6 septembre 2012

France – Pétition appelant au retour de Philippe de Villiers

Dans une France qui va de plus en plus mal (au bord du gouffre) une pétition a été mise en ligne pour le retour de Philippe de Villiers

   En effet, on peut lire et signer cette pétition mise en ligne sur le site PetitionPublique.fr

«Pétition pour appeler au retour de Philippe de Villiers»

Pour souscrire à la pétition c'est ici (un clic avec le bouton gauche de votre souris sur le lien ci-dessous en bleu)

http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2012N27352

NOTA : Vous trouverez ci-dessous, en (1) L’Appel à la pétition, en (2)  Le Lien à la pétition

Ensemble pour la France vous suggère de divulguer cette annonce auprès de vos contacts

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Appel à la pétition

1) Pétition pour appeler au retour de Philippe de Villiers

clip_image001« Les utopies sont souvent des vérités prématurées », disait Lamartine. L’Histoire fourmille d’exemples pour lui donner raison. De Gaulle président d’une nouvelle République, en 1953 c’est une utopie. Cinq ans plus tard c’est une vérité. François Hollande, Monsieur 3%, Président de la République, le 6 mai 2011 c’est une utopie. Le 6 mai 2012 c’est une vérité (hélas !). Vouloir transformer une ruine qui s’écroule dans un champ en friche pour en faire le plus beau parc d’attraction du monde, sans argent et sans subvention, dans les années 1970 c’est une utopie. Aujourd’hui c’est une vérité.

Villiers Président, en 2012 c’est une utopie. Mais qu’en sera-t-il dans les années à venir ? Qu’en sera-t-il dans une France traumatisée par un quinquennat d’impéritie ? Qu’en sera-t-il dans une France révoltée par l’islamisation ? Qu’en sera-t-il lorsque la question européenne aura définitivement prouvé que, dès 1992, il avait déjà tout dit, tout prévu ? On peut penser avec raison que les Français voudront se tourner vers des personnes de qualités, incarnant des valeurs sûres.

La gauche montre chaque jour qu’il n’y a rien à espérer de son côté. Au Front national, il y a du talent, c’est vrai. D’abord celui de Jean-Marie Le Pen, homme charismatique qui a su imposer un parti fort. Depuis 2010, il l’a légué à sa fille. Il lui a également transmis certaines de ses qualités, mais aussi ses défauts. Ce qui fait que le FN fera peut-être des scores superbes, mais ne prendra jamais le pouvoir. Ce parti veut rester seul et personne ne se bouscule pour se mettre à sa suite. Or, le Front national ne gagnera ni ne gouvernera sans l’appui de forces extérieures. Autre problème du FN : il craint les talents en son sein. On a peur qu’ils fassent de l’ombre. Alors, on les évince ou on les décourage. Enfin, l’essentiel de sa force relève de l’émotionnel et non du rationnel. Il y a aujourd’hui une marinemania, comme il y a eu hier une ségolènemania. Certains sont séduits par des élans et des formules qui font mouche mais qui restent sans ce fond nécessaire pour donner une véritable crédibilité. 2012 a été l’année de l’affectif, François Hollande ayant été élu par un rejet épidermique de son adversaire. Ce choix montre déjà ses limites. Aussi, est-ce vers davantage de raison que les Français se porteront probablement en 2017.

La raison, l’UMP s’en prévaut. Sauf cas de force majeure, en 2017 son représentant sera une nouvelle fois Nicolas Sarkozy. Sarkozy, on le connaît. On connaît ses positions sur l’Europe, on connaît ses positions sur l’islamisation de la France. En cinq ans de présidence, il n’a pas résolu, ni même amoindri, les problèmes de l’islamisation, de l’immigration ou de la sécurité. Bien au contraire. Quant à l’Europe, il a commencé son quinquennat en bafouant le référendum et le choix des Français pour imposer le traité de Lisbonne. Puis, se rendant compte que les électeurs le lui reprochaient, il a, comme beaucoup, repris en 2012 les propos que tenait Villiers cinq ans plus tôt, en prônant notamment l’instauration de frontières européennes. En un mot, Sarkozy aura, en 2017, les mêmes difficultés qu’en 2012 pour retrouver ses électeurs de 2007.

Villiers, lui, n’a jamais varié. Il est toujours resté ferme sur ses convictions. Il a une ambition pour la France. Il a du fond et de la raison. En un mot, il a ce qui fait défaut aux autres. Il a aussi de l’étoffe, du courage, des compétences et de l’expérience. Autant de qualités nécessaires pour remettre la France dans le bon sens.
Après avoir éprouvé pendant cinq ans un homme qui avait tout raté ou presque lorsqu’il présidait le département de la Corrèze, peut-être voudra-t-on essayer quelqu’un qui, lui, avait, tout réussi à la tête de la Vendée.

C’est pourquoi « l’utopie » Villiers a tout pour devenir la vérité de demain. Nous avons mis en ligne cette pétition qui appelle son retour pour cette seule raison. Aucun de nous ne connaît personnellement Philippe de Villiers. Nous sommes justes persuadés que l’on doit être nombreux à appeler ce retour. C’est le seul but de cette pétition.

Dominique Droin

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2) Pétition Pétition pour appeler au retour de Philippe de Villiers

Pour: Philippe de Villiers

L’ancien président du Conseil général de Corrèze est devenu président de la République. Pourtant, tout le monde sait combien il a endetté son département. Tout le monde sait aussi que, sous sa présidence, les impôts locaux y ont flambé de manière insensée. Grâce à Martine Aubry, tout le monde sait encore que ce même homme, qui a dirigé le Parti socialiste pendant plus de dix ans, l’a laissé dans état déplorable. Aujourd’hui, cet homme est Président de la République.
Parallèlement, un autre homme a dirigé, lui aussi, un autre département français, la Vendée. Il l’a fait pendant vingt-cinq ans. Pendant tout ce temps, il l’a conduit vers la modernité, l’efficacité, l’innovation, le co-développement, etc., au point de décrocher, chaque fois, les premières places dans les palmarès des départements. Sans parler du Puy-du-Fou, une réussite saluée par les Américains eux-mêmes, qui lui ont décerné l’oscar du plus beau parc d’attractions du monde.
D’un côté, nous avons donc un politique, qui a tout raté ou presque, devenu Président de la République ; de l’autre, un homme qui a tout réussi. Celui-là, on voudrait le jeter aux oubliettes de la politique. Ce n’est pas concevable. Ce serait accepter la victoire de l’impéritie et de l’incompétence. Pire, ce serait accepter le déclin de la France sans réagir.
Pour comprendre le rôle que chacun de nous peut jouer dan cette circonstance, il faut connaître cette anecdote.
À la fin des années 1970, Philippe de Villiers s’ennuyait à l’ENA. Parti en stage, il s’était promis de ne pas passer ses examens. Sachant cela, l’un de ses professeurs vint sur-le-champ lui faire sentir l’incohérence d’une telle décision. Docile, l’élève, retourna au 56, rue des Saints-Pères. Il passa ses examens, obtint ses diplômes, mais ne pourra s’empêcher toute sa vie de clamer haut et fort qu’il a perdu son temps à l’ENA ; son apprentissage s’étant d’abord fait dans l’expérience Puy-du-Fou.
Notre rôle est donc d’agir comme ce professeur. Il faut aller chercher Villiers comme d’autres sont allés chercher de Gaulle en 1958. C’est le but de cette pétition. En la signant, chacun participera à son retour.

Pour l’inversion des flux migratoires
Pour le retour de la souveraineté des États
Pour une gestion rigoureuse et de bon sens
Pour mettre un terme à l’hégémonie des technocrates

Je signe la pétition qui appelle le retour de Philippe de Villiers

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JJA