Organisée par la Fédération MPF de Paris
Thème : Crise Politico-économique : arme pour le nouvel ordre mondial.
le 20 octobre 2008 à 19 heures. 8 bis rue Vavin 75006 PARIS Rdc au Fond de la cour
- Entrée Gratuite
Accès : Métro Vavin (M4) ou Notre Dame des champs (M12)RER B : Luxembourg
Nous vous attendons nombreux !
Thème : Crise Politico-économique : arme pour le nouvel ordre mondial.
le 20 octobre 2008 à 19 heures. 8 bis rue Vavin 75006 PARIS Rdc au Fond de la cour
- Entrée Gratuite
Accès : Métro Vavin (M4) ou Notre Dame des champs (M12)RER B : Luxembourg
Nous vous attendons nombreux !
La crise financière et monétaire, partie des Etats-Unis en août 2007, secoue le monde.
Les structures politico-économiques des Etats sont remises en cause.
Ainsi, un Etat comme l’Islande est menacé de faillite et des répercussions de ce type sont à craindre.
Une telle situation paraît incroyable.
En fait, elle ouvre des perspectives nouvelles en faveur d’un remodelage complet des structures monétaires, financières et politiques mondiales.
En effet, en période de calme, il est impossible de procéder à de grandes mutations.
Les peuples s’y refuseraient.
En revanche, de grands bouleversements politiques, économiques et sociaux engendrent la peur.
L’affolement général permet de mettre en œuvre des mesures qui, en période de stabilité, se révèleraient impossibles.
Selon le bon vieux principe défendu par le diplomate Charles-Maurice de Talleyrand : « Agitez le peuple avant de s’en servir », il s’agit de laisser pourrir une situation afin de justifier l’emploi de mesures révolutionnaires en faveur du nouvel ordre mondial.
C’est tout l’enjeu de cette crise qui est la dernière ligne droite précédant l’émergence d’une gouvernance planétaire.
Les structures politico-économiques des Etats sont remises en cause.
Ainsi, un Etat comme l’Islande est menacé de faillite et des répercussions de ce type sont à craindre.
Une telle situation paraît incroyable.
En fait, elle ouvre des perspectives nouvelles en faveur d’un remodelage complet des structures monétaires, financières et politiques mondiales.
En effet, en période de calme, il est impossible de procéder à de grandes mutations.
Les peuples s’y refuseraient.
En revanche, de grands bouleversements politiques, économiques et sociaux engendrent la peur.
L’affolement général permet de mettre en œuvre des mesures qui, en période de stabilité, se révèleraient impossibles.
Selon le bon vieux principe défendu par le diplomate Charles-Maurice de Talleyrand : « Agitez le peuple avant de s’en servir », il s’agit de laisser pourrir une situation afin de justifier l’emploi de mesures révolutionnaires en faveur du nouvel ordre mondial.
C’est tout l’enjeu de cette crise qui est la dernière ligne droite précédant l’émergence d’une gouvernance planétaire.