mardi 7 juin 2011

FRANCE - Un siège unique au FMI / L’euro folie de la Commission de Bruxelles


Attention Danger, en proposant un siège unique de représentation et de droit de vote au FMI, la Commission de Bruxelles Bafoue la souveraineté budgétaire, économique et politique des 27 Etats membres de l’Union et montre son vraie visage et son objectif sournois qu’elle veut atteindre.

A ce sujet, Jacques Myard député souverainiste UMP s’exprime dans un communiqué de presse.

Jacques Myard Député UMP Souverainiste Redimensionné

La commission de l'Union européenne dans un exercice de fuite en avant, dont elle a le secret, vient de proposer que les Etats européens fusionnent leurs droits de votes et leurs sièges en un siège unique au FMI !

Cette proposition est d'autant plus inacceptable qu'elle foule au pied la souveraineté politique des Etats de l’Union, en commandant une perte totale des politiques budgétaires et économiques.

C'est une nouvelle tentative d'imposer un fédéralisme rejeté par tous les Etats et surtout de fédéraliser en la mutualisant  la dette des Etats européens , puisque le FMI prêterait obligatoirement alors à l'Union européenne prise dans son ensemble, la France et l'Allemagne seraient juridiquement liées par les dettes  grecques , portugaises et autres et ainsi obligées d'honorer les dettes de ces pays !!!!!

A l'évidence cette fuite en avant, au mépris des réalités géopolitiques venant après la proposition de créer un Ministre européen des finances, s'inscrit dans un total déni des réalités, elle ne peut venir que de la BCE et de J.C. Trichet, maitre dans l'utopie pour tenter de sauver une monnaie unique qui n'en finit pas d'étrangler les Etats les plus faibles et de provoquer la révolte des peuples !

Il est temps que J.C. Trichet   reconnaisse qu'il s'est trompé sur la viabilité d'une monnaie unique dans une zone économique non optimale !!!!!

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Attention Danger pour l’avenir

Profitant des problèmes de l’Euro (monnaie unique), des dérives budgétaires, économiques et de ses conséquences graves pour certains états européens, il est à craindre que la Commission Européenne veut faire passer en douceur les premiers pas vers un fédéralisme en court-circuitant la politique des états.

EPB-JJ A